A mesure que les pays du monde entier retrouvent la voie de la croissance, certains organismes retrouvent un certain optimisme dans leurs analyses et leurs prévisions à court, moyen et long terme. Il reste tout de même nécessaire de faire le tri entre tous ces acteurs qui inondent les pages des journaux spécialisés et les pages Internet afin de choisir des informations pertinentes. Cependant, certains de ces organismes ont d’ores et déjà toute notre confiance. C’est le cas de l’un d’entre eux, que l’on aime à citer tant sa renommée n’est plus à faire aujourd’hui en France mais également dans le reste du monde. Le nom de cet organisme ? L’UNOFI (Union Notarial Financière). En fin d’année 2014, l’UNOFI nous avait livré une analyse très pointue, très sérieuse, qui semble s’appliquer encore une fois en cette fin d’année 2015. Présentation des deux points principaux sur lesquels s’appuie cette analyse.

Un regard permanent sur les banques centrales mondiales

Le premier point principal de cette analyse porte sur les décisions prises par les banques centrales du monde entier. Depuis la fin de l’année 2014, ces décisions se font toujours plus nombreuses, toujours plus importantes et massives. La banque centrale européenne vise à relancer la croissance, la FED à rééquilibrer la parité euro-dollar … Ces décisions trouveront des conséquences certaines sur le moyen terme et il est important, voire primordial, de garder une attention certaine sur l’information relative aux banques centrales à travers le monde.

La publication des résultats des entreprises en ligne de mire

Autre point majeur de l’analyse rendue par l’UNOFI : la publication des résultats des entreprises françaises et mondiales en cette fin d’année. Toute la sphère économique attend avec impatience cette publication tant les résultats des entreprises de fin d’année permettent de donner, à eux-seuls, un résumé de toute l’année écoulée. SI ces résultats sont bons, positifs ou du moins encourageants, les marchés retrouveront le sourire et la voie de la hausse. Le cas échéant, la frilosité s’emparera de tous les acteurs financiers et boursiers. Là encore, affaire à suivre.